Les séances de coaching se terminent, l’heure est au bilan. Six mois après avoir commencé avec la Coach, il faut se dire au revoir. Ça me met dans un état de panique avancé.
Dès le début de mon questionnement professionnel, dès le début de la question “What’s Next”, je savais que je voulais faire appel à une coach. Je voulais me faire aider dans cette démarche, car la question “que faire maintenant” me semblait une épreuve importante et je me sentais trop perdue pour me lancer toute seule.
Voir une Coach a suscité pas mal de curiosité de la part des personnes autour de moi : “A quoi ça sert ? Comment ça marche ? Mais comment ça marche vraiment ?”
Moi aussi je me le demandais tout en le vivant de l’intérieur. Je voyais bien que des choses changeaient, mais c’était difficile d’expliquer la mécanique du coaching. “On parle”, je répondais aux amis curieux. “Ça débloque des trucs”.
Une Coach n’est pas une psy, on n’a pas besoin de déballer toute sa vie pour faire le travail, mais il faut tout de même oser se livrer pour avancer. Concrètement, la Coach pose des questions qui dévoilent des peurs ou des envies, et on essaie de voir comment on peut les dépasser (pour les peurs) et les réaliser (pour les envies). On peut aller plus loin aussi, faire une feuille de route de prochains projets.
La Coach, c’est la bonne collègue, la bonne manager, la bonne collaboratrice qui parle boulot et développement personnel et qui fait attention aux détails… et à l’ensemble de la carrière. Quelqu’un d’important donc.
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La fin de notre collaboration a failli mal se passer.