Hello Mathilde, ce matin rangement de la maison, avec en écoute ton dernier épisode podcast avec l'interview de Virginie.
J'ai pris quelques notes, car ça m'a fait penser à pas mal de choses en écoutant cet épisode.
Du coup je partage mes réflexions :-)
20 ans de sa vie dédiée à ses enfants, je trouve ça juste oufissime, c'est incroyable le point de vue d'une personne à une autre, moi clairement ce n'est pas du tout mon goal pour mon futur mais j'admire énormément et respecte surtout toutes les femmes qui consacrent bcp d'années (quasi exclusivement) à leurs enfants.
Que ça fait du bien d'entendre parler de la "positive attitude", clairement on n'a pas ça en France du tout, pour avoir vécu 3 ans 1/2 en Amérique du Nord, ça me manque ici. Ici c'est tout l'inverse, j'ai l'impression que plus tu essaies d'être positif, plus on te juge et regarde bizarrement (je parle vraiment pour l'endroit où j'habite, je n'ai pas vécu dans de grosses villes française, je pense que c'est(quand même different).
Ça me pèse énormément à mon travail, zéro positivité, que du négatif, c'est dur.
Petit exemple tout bête mais je songe à m'acheter un vélo électrique car j'habite tout proche de mon travail et la crèche de mon fils est aussi juste à côté. Cela suscite plutôt de "la rigolade" que des encouragements.
Rien que de demander un abri à vélos ou du moins des attaches pour pouvoir l'accrocher en sécurité, j'ai cru demander un peu la lune.
Autre réflexion, ce côté qui paraît bcp plus simple de "se lancer" aux États-Unis, Virginie a fait 2 marchés pour vendre ses macramés, avec une amie à elle (que je suis également sur instagram)Ça paraît "presque normal", ici impossible ou tout du moins bcp plus complexe.
Cet été pendant la période où je réfléchissais à retrouver un travail, je voulais du temps pour moi, j'adore la créativité, donc dans mon idéal c'était un mi temps et du temps dédié pour moi et mes occupations. La réalité est un peu différente, j'ai retrouvé un temps plein (mon conjoint est agriculteur, sans mon salaire à 100%,pour l'instant un peu dur de pouvoir s'en sortir).
Résultat entre mon taf et gérer le petit, je n'ai plus vraiment de temps pour ce que j'aurai aimé faire.
Hello Mathilde, ce matin rangement de la maison, avec en écoute ton dernier épisode podcast avec l'interview de Virginie.
J'ai pris quelques notes, car ça m'a fait penser à pas mal de choses en écoutant cet épisode.
Du coup je partage mes réflexions :-)
20 ans de sa vie dédiée à ses enfants, je trouve ça juste oufissime, c'est incroyable le point de vue d'une personne à une autre, moi clairement ce n'est pas du tout mon goal pour mon futur mais j'admire énormément et respecte surtout toutes les femmes qui consacrent bcp d'années (quasi exclusivement) à leurs enfants.
Que ça fait du bien d'entendre parler de la "positive attitude", clairement on n'a pas ça en France du tout, pour avoir vécu 3 ans 1/2 en Amérique du Nord, ça me manque ici. Ici c'est tout l'inverse, j'ai l'impression que plus tu essaies d'être positif, plus on te juge et regarde bizarrement (je parle vraiment pour l'endroit où j'habite, je n'ai pas vécu dans de grosses villes française, je pense que c'est(quand même different).
Ça me pèse énormément à mon travail, zéro positivité, que du négatif, c'est dur.
Petit exemple tout bête mais je songe à m'acheter un vélo électrique car j'habite tout proche de mon travail et la crèche de mon fils est aussi juste à côté. Cela suscite plutôt de "la rigolade" que des encouragements.
Rien que de demander un abri à vélos ou du moins des attaches pour pouvoir l'accrocher en sécurité, j'ai cru demander un peu la lune.
Autre réflexion, ce côté qui paraît bcp plus simple de "se lancer" aux États-Unis, Virginie a fait 2 marchés pour vendre ses macramés, avec une amie à elle (que je suis également sur instagram)Ça paraît "presque normal", ici impossible ou tout du moins bcp plus complexe.
Cet été pendant la période où je réfléchissais à retrouver un travail, je voulais du temps pour moi, j'adore la créativité, donc dans mon idéal c'était un mi temps et du temps dédié pour moi et mes occupations. La réalité est un peu différente, j'ai retrouvé un temps plein (mon conjoint est agriculteur, sans mon salaire à 100%,pour l'instant un peu dur de pouvoir s'en sortir).
Résultat entre mon taf et gérer le petit, je n'ai plus vraiment de temps pour ce que j'aurai aimé faire.
Voilà c'était mes réflexions suite au podcast :-)