Un merci infini à JB et à toi Mathilde d'avoir partagé cet itinéraire de vie non linéaire, et surtout cette expérience formidable qui a permis à JB de se réparer et de renouer avec l'amour en soi qui conduit à ce formidable projet de Self-Compassion. Un vrai projet sociétal pour ouvrir la voie, peut-être, à une société plus humaine car en paix avec elle-même. Les sages(ses) indigènes avaient cette compréhension intuitive du vivant et cette connaissance du grand tout qui nous échappe malheureusement. Je suis cette trace qui s'éclaircit petit à petit depuis longtemps.
C'est un beau parcours, un beau projet, qui pourra, je l'espère, être partagé avec le plus grand nombre de jeunes, pour réorienter la trajectoire de l'homme.
L'ayawaska reste une plante aux effets qui peuvent être délétères. A utiliser avec des autochtones connaisseurs car il y a aussi un business qui se développe tout autour. Les voies pour revenir à l'amour de soi et de l'autre, qui est la base, sont nombreuses et sinueuses. Mais elle s'imposent parfois à soi.
Décidément, tous ces podcasts, ces épisodes, ces cheminements sont et ont été passionnants à suivre. Merci Mathilde ! J'espère qu'il y aura une suite à inventer.
Hello Laurence, merci pour ton message. Ca fait toujours plaisir de savoir que quelqu'un a écouté et a apprécié (je vois les chiffres d'écoute, mais je préfère toujours un petit mot, ça sonne plus vrai !)
J'ai vraiment été choquée par ces chiffres sur la santé mentale des jeunes filles, alors tout projet qui permet d'améliorer les choses, à partir d'un concept finalement si simple : l'amour de soi, faire taire son "dragon" (une bonne traduction du "inner bully") je suis preneuse !!
(et oui pour l'ayahuasca, c'est clair que c'est à prendre avec précaution, surtout avec l'effet de mode actuel)
Un épisode riche et passionnant...
Un merci infini à JB et à toi Mathilde d'avoir partagé cet itinéraire de vie non linéaire, et surtout cette expérience formidable qui a permis à JB de se réparer et de renouer avec l'amour en soi qui conduit à ce formidable projet de Self-Compassion. Un vrai projet sociétal pour ouvrir la voie, peut-être, à une société plus humaine car en paix avec elle-même. Les sages(ses) indigènes avaient cette compréhension intuitive du vivant et cette connaissance du grand tout qui nous échappe malheureusement. Je suis cette trace qui s'éclaircit petit à petit depuis longtemps.
C'est un beau parcours, un beau projet, qui pourra, je l'espère, être partagé avec le plus grand nombre de jeunes, pour réorienter la trajectoire de l'homme.
L'ayawaska reste une plante aux effets qui peuvent être délétères. A utiliser avec des autochtones connaisseurs car il y a aussi un business qui se développe tout autour. Les voies pour revenir à l'amour de soi et de l'autre, qui est la base, sont nombreuses et sinueuses. Mais elle s'imposent parfois à soi.
Décidément, tous ces podcasts, ces épisodes, ces cheminements sont et ont été passionnants à suivre. Merci Mathilde ! J'espère qu'il y aura une suite à inventer.
Hello Laurence, merci pour ton message. Ca fait toujours plaisir de savoir que quelqu'un a écouté et a apprécié (je vois les chiffres d'écoute, mais je préfère toujours un petit mot, ça sonne plus vrai !)
J'ai vraiment été choquée par ces chiffres sur la santé mentale des jeunes filles, alors tout projet qui permet d'améliorer les choses, à partir d'un concept finalement si simple : l'amour de soi, faire taire son "dragon" (une bonne traduction du "inner bully") je suis preneuse !!
(et oui pour l'ayahuasca, c'est clair que c'est à prendre avec précaution, surtout avec l'effet de mode actuel)
Hello, super podcast comme dab 😉 ! est-ce que tu peux partager l’article du New York Times dont tu fait mention sur la santé mentale ?
Je ne saurais pas te dire quel article exactement, mais il y a celui-ci : https://www.nytimes.com/2022/04/23/health/mental-health-crisis-teens.html qui est assez fou
Merci pour l'enthousiasme sur cet episode, je trouve qu'il gagne a etre connu !