Rien ne remplace un atelier en live, mais certaines d’entre vous m’ont écrit en me disant regretter ne pas avoir pu assister à l’atelier d’écriture du mois. Je vous propose ici une version adaptée pour la newsletter du vendredi.
Gardez cet article pour un moment où vous avez du temps pour le lire, bookmarkez-le pour y revenir plus tard : il est long, dense, et je l’espère suffisamment riche pour que vous repartiez avec un mode d’emploi encourageant.
→ Restez jusqu’au bout, je vous propose quelque chose de spécial pour cet été.
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Peut-on percer les mystères du journaling ? vous savez, ces personnes qui vous disent que sans tenir un journal, elles ne sont pas les mêmes ? que tenir un journal a changé leur vie. Mais comment ? Pourquoi ?
Le problème du journaling, c’est que c’est une action très simple (= écrire un peu tous les jours dans un carnet), mais ça a été complexifié dans tous les sens. C’est devenu une pratique qui mêle self-care et self-développement, self-amélioration de soi dans un but productiviste de devenir cette éternelle meilleure version de nous-même.
Or, si on en revenait aux choses simples Comment revenir à quelque chose de plaisant et distrayant, et peut-être, éventuellement, transformateur ?
Ce mercredi, on a discuté essence du journal, ambivalences et stratégies.
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Tous les mois, j’organise un atelier d’écriture de 1h sur Zoom, au cours duquel je vous partage des textes de non-fiction, des prompts et des mini-points d’écriture qui vous permette de développer une pratique d’écriture personnelle.
J’organise des sessions plus longues et suivies, de façon occasionnelle — la prochaine aura lieu en septembre sur un thème encore à définir.
Je choisis les thèmes de ces ateliers en fonction de mes envies (la ligne éditoriale qui marche le mieux pour moi), et ce mois-ci, juste avant l’été, j’avais choisi le journaling. C’est la sortie du livre The Book of Alchemy de Suleika Jaouad, une autrice new yorkaise qui m’a encouragé à reprendre la route du journaling.