#42 - J'ai quelques questions à vous poser

Séance de rattrapage des “Lives” What’s Next

Le live What’s Next, c’est un rendez-vous qui existe depuis la fin avril, pour vous, les abonné.es à la newsletter What’s Next, et dans lequel on discute pendant une heure des thématiques de la carrière et des choix de vie.

C’est une conversation informelle, j’arrive avec quatre ou cinq questions préparées à l’avance, et on rebondit et réagit en fonction de qui est présent ce soir-là. 

A chaque fois, j’en suis ressortie avec un grand sourire et le coeur léger : c’était vraiment sympa, ça donne une autre dimension à What’s Next, plus spontanée et dans l’écoute sur le moment. Bref, c’est le principe même d’une conversation.

Cette semaine a eu lieu le quatrième Live ; techniquement, c’était le troisième car j’avais dû annuler celui de la fin juin pour cause d’enfant malade sans option de garde alternative.

Pour le Live de la fin juillet, ma fille était encore malade, un mini-truc de rien du tout mais qui est tombé pile le jour où ça ne m’arrangeait pas trop. Au réveil de sa sieste, elle était ravie de se précipiter dans mon bureau et de faire coucou aux voix françaises qu’elle entendait de l’autre côté de l’écran.

Outre cette apparition inopinée, ce Live est en petit groupe, comme ça il y a de la place pour chacun pour discuter. Même s’il y a de la place pour tout le monde, ça ne veut pas dire que tout le monde, tous les inscrits à la newsletter vont venir, vous êtes d’ailleurs une majorité à ne pas avoir participé. 

Peut-être l’horaire ne vous convient pas, peut-être ça nous vous intéresse pas, peut-être vous êtes timide ou très occupé.e, ou alors vous avez raté l’info ?

J’avais envie de proposer dans cette dernière newsletter avant la pause estivale un post plus participatif, une sorte de Live en version écrite pour donner un aperçu statique de ce qui se passe dans ce rendez-vous.

Vous allez me dire : pourquoi ne pas diffuser la version enregistrée ?

La raison est simple : je n’enregistre pas le Live, parce que j’ai envie de préserver ce moment. Aucune participante (et moi inclus) ne sent la pression de quoi que ce soit : ce moment existe dans l’instant. Mais vous qui n’êtes pas venu, vous êtes peut-être curieux de savoir comment ça s’est passé ?